Psycho généalogiste. C’est sous cette étiquette et cette présentation que s’entend, s’organise et se déroule une première consultation avec Alice.
Avec une rigueur et une exigence toute scientifique Alice mène l’enquête.
Elle repère, investigue et détermine dans la multitude des éléments généalogiques ascendants et descendants que le patient lui délivre les traces et les composantes qui ont contribué à construire son ossature, son fonctionnement. Mais à y être un peu plus attentif, on s’aperçoit assez rapidement qu’elle décèle dans cet arbre géant et touffu que constitue notre naissance, notre place dans la fratrie, dans la vie de nos pères et mères et de celles de nos aïeux plus ou moins proches ou éloignés, tout un réseau savamment orchestré de ramifications souterraines. Ce réseau constitue les motivations inconscientes qui déterminent les actions répétitives qui nous entravent, nous font souffrir, piège notre âme et la prive de sa liberté, de sa mission.
Car il s’agit bien, lorsqu’on s’engage dans la voie d’un travail thérapeutique avec Alice, de se dégager du « fatum » qui, chez nos ancêtres, représentait le destin ou les coups du sort.
Empêtré, c’est à dire littéralement se prenant les pattes dans un lien, voilà ce qui attend celui qui ne voit pas clairement les drames dont il a hérité dans cette longue suite de liens trans-générationnels. « Tout ce qui ne vient pas à la conscience… Ce que nous évitons de reconnaître en nous-mêmes, nous le rencontrons plus tard sous forme de destin » Carl Gustav Jung
Voir clair et comprendre ce qui s’est joué avant et après notre naissance constitue le premier pas d’un travail avec Alice.
Le second pas vient avec le second rendez-vous.
Car enfin, voir clair est une chose. Mais guérir, constater la cessation de la souffrance et sentir à la place un souffle nouveau en est une autre.
Sentir enfin son âme vibrer et se dégager des liens toxiques hérités qui pourrissent notre vie quotidienne, nos liens affectifs et nos liens sociaux, là est le cœur du travail thérapeutique.
Alice, avec notre consentement, nous conduit alors sur un chemin nouveau en revêtant l’habit archétypal et lumineux d’une intercessrice : celle du chaman.
Oui. Alice est chaman.
J’en ai fait l’expérience lorsqu’avec mon accord elle m’a invité à m’allonger, à fermer les yeux et que j’ai accédé, me laissant guider par sa voix, à un état modifié de conscience. Ensemble, elle et moi, avons cheminé vers des espaces jusqu’alors méconnus de moi-même. Ces espaces intérieurs qui contiennent tout l’univers c’est à dire toutes les mémoires des liens émotionnels et psychiques qui se sont tissés – souvent à notre insu – avec notre lignée.
Et là, au cœur de ces espaces hors du temps et de la matière, nous avons œuvré pour que s’opère le travail alchimique de guérison. Nous avons défait les liens toxiques et, avec compassion et amour, nous les avons reprisés et réparés dans l’écheveau de ma généalogie.
Ainsi, me libérant des liens toxiques et mortifères, je libérais mes ancêtres et les vivants de ma lignée.
Merci Alice.